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Note moyenne de cet épisode: 18.0 / 20 (1)
Classement cette saison : 4
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russel 
18.0
18.0
Chouette de replonger dans le showbiz qui est l'autre particularité de Ray Donovan en plus de la famille. Il y a toujours un grand soin dans le rendu des détails du milieu hollywoodien et dans le choix des situations. On avance plus généralement toujours avec des séquences ultra ciselées qui me rendent vraiment admiratif par leur épure.
Et puis les showrunners développent sans perdre de temps leur saison sans être avares en nouvelles amorces. Drôle de faire connaissance avec les proches d'Abby à Boston. Montre moi ta famille je te dirai qui tu es, ça éclaire bien le personnage d'éternelle ado en manque de maturité qui ne veut pas vieillir (comme Mickey). Pas franchement de révélation mais le segment est parfaitement raccord avec ce qu'on connaissait de la femme de Ray. Ca aurait pu être juste une incartade écourtée par la soeurette qui semble nourrir quelques rancunes à l'égard d'Abby, mais les auteurs ont plus de choses à faire remonter visiblement, bien plus nuancées.
Même schémas pour les Finney avec une Paige vacharde mais aussi vulnérable. L'apport sur la saison des nouveaux patrons de Ray ne se fera visiblement pas que dans la percussion, on a une base de tragédie assez sympa qui se dessine. C'est ce que j'aime avec cette série, son épaisseur. Sa diversité aussi. Il y a la souffrance incroyable incarnée par un Eddie Marsan et puis il y a des séquences plus cocasses comme les deux molosses de Abby qui rentrent au bercail de façon bien synchrone en clôture.
Avi et Lena me manquent...
Confirmation semaine après semaine que Ray Donavan est la série de l'été que je place loin au dessus des autres.
Et puis les showrunners développent sans perdre de temps leur saison sans être avares en nouvelles amorces. Drôle de faire connaissance avec les proches d'Abby à Boston. Montre moi ta famille je te dirai qui tu es, ça éclaire bien le personnage d'éternelle ado en manque de maturité qui ne veut pas vieillir (comme Mickey). Pas franchement de révélation mais le segment est parfaitement raccord avec ce qu'on connaissait de la femme de Ray. Ca aurait pu être juste une incartade écourtée par la soeurette qui semble nourrir quelques rancunes à l'égard d'Abby, mais les auteurs ont plus de choses à faire remonter visiblement, bien plus nuancées.
Même schémas pour les Finney avec une Paige vacharde mais aussi vulnérable. L'apport sur la saison des nouveaux patrons de Ray ne se fera visiblement pas que dans la percussion, on a une base de tragédie assez sympa qui se dessine. C'est ce que j'aime avec cette série, son épaisseur. Sa diversité aussi. Il y a la souffrance incroyable incarnée par un Eddie Marsan et puis il y a des séquences plus cocasses comme les deux molosses de Abby qui rentrent au bercail de façon bien synchrone en clôture.
Avi et Lena me manquent...
Confirmation semaine après semaine que Ray Donavan est la série de l'été que je place loin au dessus des autres.
